Deux ans après le concours d’architecture pour la transformation de l’ancien garage Citroën en nouveau pôle culturel pour la ville de Bruxelles, l’architecte Stephen Bates, lauréat du concours, dresse le bilan. Comment le projet du concours KANAL Centre Pompidou a-t-il évolué, comment la réaffectation se déroule-t-elle et à quoi pourra bien ressembler un musée à une époque post-Covid-19 ?

Depuis leurs origines en tant que collections privées ouvertes au public, les musées ont constamment été réinventés et refaçonnés. Ce parcours de refontes successives a abouti à un élargissement de leur mission ; ils reflètent désormais les valeurs sociales et culturelles, et sont devenus des symboles des villes qu’ils représentent sur la scène internationale, jouant un rôle de catalyseurs d’investissements et de facilitateurs de la régénération urbaine. Aujourd’hui, ils jouent un rôle majeur dans le monde de l’art international grâce à la scène toujours plus vaste qu’ils offrent à la pratique de l’art et un énorme potentiel pour dépasser les limites de leur propre site et des audiences classiques. Le défi le plus récent a été l’impact de la pandémie de Covid-19. Une fois fermés au public, les musées exposent leur fragilité. C’est dans ce contexte de questionnement et de réévaluation que nous développons le projet KANAL-Centre Pompidou à Bruxelles, en transformant ce qui fut jadis la plus grande usine d’automobiles en Europe.

Dès le départ, les trois bureaux d’architecture – noA, EM2N et Sergison Bates – réunis sous l’appellation Atelier KANAL ont rompu avec la tradition de l’immeuble-signature par une star de l’architecture, et ce collectif s’est élargi à un groupe informel de commissaires et artistes internationaux – Anna Viebrock, Peter Cachola Schmal, Anne Pontégnie et Lucy McKenzie – qui sont venus enrichir le projet de leurs différents points de vue et nous ont encouragés à réfléchir autrement au potentiel d’interaction entre l’art et la société.

Deux ans après le concours d’architecture pour la transformation de l’ancien garage Citroën en nouveau pôle culturel pour la ville de Bruxelles, l’architecte Stephen Bates, lauréat du concours, dresse le bilan. Comment le projet du concours KANAL Centre Pompidou a-t-il évolué, comment la réaffectation se déroule-t-elle et à quoi pourra bien ressembler un musée à une époque post-Covid-19 ?

Depuis leurs origines en tant que collections privées ouvertes au public, les musées ont constamment été réinventés et refaçonnés. Ce parcours de refontes successives a abouti à un élargissement de leur mission ; ils reflètent désormais les valeurs sociales et culturelles, et sont devenus des symboles des villes qu’ils représentent sur la scène internationale, jouant un rôle de catalyseurs d’investissements et de facilitateurs de la régénération urbaine. Aujourd’hui, ils jouent un rôle majeur dans le monde de l’art international grâce à la scène toujours plus vaste qu’ils offrent à la pratique de l’art et un énorme potentiel pour dépasser les limites de leur propre site et des audiences classiques. Le défi le plus récent a été l’impact de la pandémie de Covid-19. Une fois fermés au public, les musées exposent leur fragilité. C’est dans ce contexte de questionnement et de réévaluation que nous développons le projet KANAL-Centre Pompidou à Bruxelles, en transformant ce qui fut jadis la plus grande usine d’automobiles en Europe.

Dès le départ, les trois bureaux d’architecture – noA, EM2N et Sergison Bates – réunis sous l’appellation Atelier KANAL ont rompu avec la tradition de l’immeuble-signature par une star de l’architecture, et ce collectif s’est élargi à un groupe informel de commissaires et artistes internationaux – Anna Viebrock, Peter Cachola Schmal, Anne Pontégnie et Lucy McKenzie – qui sont venus enrichir le projet de leurs différents points de vue et nous ont encouragés à réfléchir autrement au potentiel d’interaction entre l’art et la société.

Inscrivez-vous à notre newsletter
  • Ce champ n’est utilisé qu’à des fins de validation et devrait rester inchangé.